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Notes
Pour la période antérieure à l’an 2000 voir l’ouvrage collectif dirigé par Momar-Coumba Diop (2003), Le Sénégal à l’heure de l’information : Technologies et Société, Karthala, Paris, 390 p.
Cf. Olivier Lefèbvre (2003), "How Internet diffusion is influenced by the political and economic framework in developing countries", NETCOM, vol. 17, n° 3-4, pp. 149-157.
Department of Commerce (1993), The National Information Infrastructure: Agenda for Action, (http://www.eric.ed.gov/ERICDocs/data/ericdocs2sql/content_storage_01/0000019b/80/13/35/2a.pdf).
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Commission européenne (1994), Rapport du groupe des hautes personnalités sur l’Europe et la société de l’information planétaire - Recommandations au Conseil européen, Office des publications officielles des Communautés européennes, Bruxelles, 136 p.
Ce sommet s’est tenu les 25 et 26 février 1995 à Bruxelles (Belgique).
Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (1996), Initiative Société africaine à l’ère de l’information (AISI) : Cadre d’action pour l’édification d’une infrastructure africaine de l’information et la communication, CEA, Addis-Abeba, 67 p.
Jacques Habib Sy (1996), Telecommunications Dependency : The African Saga (1850-1980), Alternative Communications Inc., Dakar, 227 p.
Titre d’un ouvrage d’Yves Eudes publié en 1982 dans lequel il décrit l’ensemble des appareils idéologiques mis en œuvre par les Etats-Unis pour imposer leur vision du monde.
Remplaçant l’Office central des PTT d’Outre-mer, la Compagnie française de câbles sous- marins et de radio (FCR) fut créée le 1er novembre 1959 et obtint la gestion des télécommunications internationales dans une quinzaine de pays africains. (Cf. Michel Hachmanian, FCR et l’Afrique : période 1960/1990, http://www.anciensdefcr.eu/histoire/fcr_afrique/fcr_et_afrique.htm).
République du Sénégal (1995), IXème plan d’orientation pour le développement économique et social (1995-2002), Dakar.
Créé par le décret n° 95-414 du 15 mai 1995, le GRCC, qui bénéficiait du soutien des institutions de Bretton Woods, avait pour rôle de conseiller le gouvernement en vue de renforcer la contribution du secteur privé au développement économique.
Voir Jean-Paul Azam, Maguèye Dia and Tchétché N’Guessan (2001), Telecom Sector Reforms in Senegal. Revised version 3, May 2001, 45 p. (http://idei.fr/doc/wp/2001/telecom_revised.pdf).
Cf. Loi n° 96-03 du 22 février 1996 portant code des télécommunications remplaçant la loi n° 72-39 du 26 mai 1972 relative aux télécommunications.
La politique de désengagement de l’état avait connu une première phase entre 1988 et 1991 avec la privatisation d’une série d’entreprises de taille modeste.
L’état du Sénégal souhaitait signer une convention d’une durée de vingt ans alors que le groupe Télia ne voulait s’engager que pour sept années.
Un euro vaut 655, 957 Francs Cfa.
Les actions ont été vendues aux salariés avec une décote de 45 % et l’Etat leur a octroyé un prêt d’une durée de sept ans, avec un différé de deux ans, dans le cadre d’une convention de portage.
A ce sujet voir Bruno Jaffré (2005), « Eléments pour un bilan des privatisations des télécommunications africaines », in Société numérique et Développement en Afrique. Usages et politiques publiques (sous la direction de Jacques Gabas), Karthala, Paris, pp. 71-102.
Appartenant au groupe Millicom Cellular International, également présent au Ghana, à l’Ile Maurice, en Sierra Leone, au Tchad et en Tanzanie, la société Sentel s’était vu attribuer une licence de téléphonie mobile en septembre 1998, suite à un appel d’offres international.
Cf. Décret n° 2001-476 du 18 juin 2001 portant création de la Direction informatique de l’Etat.
Cf. Décret n° 2004-1038 du 23 juillet 2004 portant création et fixant les règles de fonctionnement de l’Agence de l’informatique de l’Etat.
Cf. Loi n° 2001-15 du 27 décembre 2001 portant code des télécommunications.
Cf. Loi n° 2006-15 du 4 janvier 2006 étendant les pouvoirs de l’ART à la régulation du secteur postal.
Suite à la vente de 9 % de ses actions à France Télécom, en 1999, la part de l’Etat dans le capital de la Sonatel était passée à 27,67 % tandis que celle de France Télécom était désormais de 42, 33 %, les investisseurs institutionnels et le grand public possédant 20 % du capital tandis que les 10 % restant étaient détenus par les employés et les retraités de la Sonatel.
Cf. République du Sénégal (2005), Lettre de politique sectorielle. Secteur des télécommunications, Janvier 2005 (http://www.telecom.gouv.sn/documents/lps.PDF).
L’expression « licence globale » recouvre les activités de téléphonie fixe, mobile et Internet.
Cf. Compte rendu de la conférence de presse du Directeur général de l’ART dans le journal Wal Fadjri du 8 février 2005.
Cf. Communiqué de presse du Directeur général de l’ART relatif à la désignation d’un nouvel opérateur global de télécoms. 14 novembre 2005.
Lancé en 2001, le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique, plus connu sous le sigle anglais de NEPAD, se veut une vision et un cadre stratégique mettant l’accent sur la construction d’infrastructures élaboré par les Africains pour la Renaissance de l’Afrique.
UIT. Deuxième comité préparatoire du Sommet mondial de la société de l’information. Intervention de son Excellence Maître Abdoulaye Président de la République du Sénégal. 17 février 2003. (http://www.itu.int/wsis/docs/pc2/visionaries/wade-fr.doc).
Cf. Sommet mondial des villes et pouvoirs locaux sur la Société de l’information. 4-5 décembre 2003. Lyon. Déclaration de Lyon (http://www.cities-lyon.org/fr/declaration.html).
Le Sénégal dispose d’un centre de télécommunications satellite pointant sur le satellite 355.5° d’Intelsat et un hub offrant des services VSAT pointant sur le satellite 328.5° d’Intelsat.
Le Sénégal est connecté au réseau mondial des câbles sous-marins à fibre optique d’une part via le câble Atlantis 2, d’une capacité de 20 Gbps, reliant le Sénégal, le Brésil, l’Argentine, la France, le Portugal et l’Espagne depuis la fin 1999 et d’autre part via le câble SAT3/WASC d’une capacité de 60 Gbps reliant le Sénégal à l’Europe (Portugal), à l’Afrique (Côte d’ivoire, Ghana, Nigeria, Cameroun, Gabon, Angola et Afrique du Sud) et qui est prolongé vers l’Asie par le câble SAFE.
Le CGFO autorise un débit de 36 000 communications téléphoniques par seconde.
ARTP (2005). Rapport sur le marché des télécommunications. 2005.
Source : Sonatel au 31 décembre 2006.
Dans ce cadre, il est prévu de fournir un accès Internet avec un débit 128kbps et d’installer des télécentres communautaires.
Source ARTP au 31 décembre 2006.
Cf. http://www.itu.int/ITU-D/ict/statistics/at_glance/af_ictindicators_2006.html
Concernant le développement des technologies de l’information et de la communication au Sénégal voir Olivier Sagna (2001), Les technologies de l’information et de la communication et le développement social au Sénégal : Un état des lieux, UNRISD, Genève, 81 p.
Cf. Pascal Renaud : Le réseau RIO : Un projet de partenariat pour la recherche, Orstom, novembre 1994, 32 p. (http://www.ur105.ird.fr/IMG/pdf/DocumentCA-RIO-ProjetPartenariat.pdf).
Cf. Moussa Fall (1996), "Networking in West Africa" In Bridge builders: African experiences with information and communication technologies, National Academy Press, Washington, pp. 141-151 (http://fermat.nap.edu/books/0309054834/html/141.html).
Cf. Message du Président Abdou Diouf à la nation en date du 21 décembre 1995.
Créée en décembre 1991 Télécom-Plus, qui était à l’origine une joint-venture entre la Sonatel (51 %) et France câbles et radio (49 %), est devenue Sonatel Multimédia en mai 2001 et son capital est actuellement détenu à 100 % par la Sonatel.
Cf. Annie Chéneau-Loquay (2001), « Les territoires de la téléphonie mobile en Afrique », NETCOM, vol. 15, n° 1-2, pp. 121.132.
Le Sénégal est cependant loin derrière des pays comme l’Egypte (5,6 Gbps), le Maroc (11,2 Gbps) ou encore l’Afrique du Sud (27,2 Gbps).
Le Métissacana qui avait débuté ses activités en juillet 1996 les a interrompues en mai 2002 n’arrivant plus à faire face aux dettes accumulées au fil des années.
Le coût de l’abonnement mensuel s’échelonne de 19.900 Francs Cfa pour un débit de 512 kbps à 72.000 Francs Cfa pour une liaison de 2 Mbps.
Cf. Sonatel (2005), Note sur les résultats 2005, Dakar, 14 p.
Cf. Sonatel (2006), Note sur les résultats 2006, Dakar, 14 p.
Chiffres cités par Madjiguène Mbaye de l’ART lors d’une présentation faire dans le cadre de l’atelier « Politiques de télécommunications, genre et service universel : rôle des professionnels des médias » organisé par le Réseau Genre et TIC du 17 au 19 janvier 2006 à Dakar.
Voir A.Chéneau-Loquay (2004), « Formes et dynamiques de l’accès public à Internet en Afrique de l’ouest : vers une mondialisation paradoxale » In Mondialisation et technologies de la communication en Afrique sous la direction de A. Chéneau-Loquay, Karthala, Paris, pp. 171-207.
Cf. http://www.itu.int/ITU-D/ict/statistics/at_glance/af_ictindicators_2006.html
Cf. Agence national de la statistique et de la démographie (2006), Rapport national de présentation des résultats du troisième recensement général de la population et de l’habitat (2002), ANDS, Dakar, 125 p.
Cf. République du Sénégal (2006), Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP) II, Dakar, 103 p.
ARTP (2005), Rapport sur le marché des télécommunications 2005.
Cf. Décret n° 2007-593 du 10 mai 2007 fixant les modalités de développement du service universel des télécommunications ainsi que les règles d’organisation et de fonctionnement du fonds de développement du service universel des télécommunications.
Sonatel, Rapport d’activités 2006, 152 p.
Union nationale des exploitants de télécentres et téléservices du Sénégal (2004), Rapport annuel sur les télécommunications au Sénégal, 35 p.
Seul studio africain de dessins animés, Pictoon a produit le feuilleton Kabongo diffusé sur les télévisons francophones.
Il est possible de se faire une idée de la présence sénégalaise sur l'Internet en consultant le répertoire des sites web figurant sur le site d’OSIRIS (http://www.osiris.sn/).
UIT (1998), Etude de cas sur l’évolution de l’environnement international des télécommunications, Sénégal : ICEA, Paris, 57 p.
Cf. Batik n° 1, Août 1999.
Cf. Décret n° 2000-562 du 11 juillet 2000 portant création de l’Agence nationale chargée de l’investissement et des grands travaux.
Cf. Trois questions à Soulèye Wade, Directeur de la communication de l’APIX : « Nous avons contribué à l’émergence des centres d’appels », In Le Soleil, 14 juillet 2005.
Cf. Loi n° 2004-06 en date du 6 février 2004 portant Code des investissements.
Cf. Loi n° 2004-11 du 6 février 2004 modifiant l’article premier de la loi n° 95-34 du 29 décembre 1995 portant statut de l’entreprise franche d’exportation.
Seydou Nourou Diouf (2006), Analyse de la compétitivité du Sénégal sur le marché international des téléservices, Dakar, 19 p.
En 2006, la Sonatel a été est le premier investisseur du pays avec 78 735 millions de Francs Cfa.
En 2006 la Sonatel a réalisé un bénéfice net de 146, 617 milliards de Francs Cfa en croissance de 26 % par rapport à l’année 2005.
Pour une comparaison de l’info-état du Sénégal avec d’autres pays voir SCIADAS Georges (2005), De la fracture numérique aux perspectives numériques : L’observatoire des infos-états au service du développement, Orbicom, Montréal, 256 p.
Voir à ce sujet SCIADAS Georges (2002), Découvrir la fracture numérique, Statistique Canada, Ottawa, 24 p.
Cf. Olivier Sagna (2006), « La lutte contre la fracture numérique en Afrique : Aller au-delà des infrastructures », Hermès, n° 45, pp. 15-24.
Au-delà de la qualité de l’infrastructure de télécommunications et de l’engagement des autorités en faveur des TIC, cette situation s’explique par le fait que le Sénégal est un des pays qui bénéficie le plus de l’aide internationale en Afrique subsaharienne.
Formation continue en information informatisée en réseau.
Quatre projets relatifs à une loi d’orientation sur la société de l’information, une loi sur la protection des données à caractère personnel, une loi sur la signature et les documents électroniques et une loi sur la cybercriminalité ont été élaborés.
Cf. http://www.demarches.gouv.sn/
D’autres activités ont été initiées par le projet CATIA en vue d’encourager le dialogue politique sur les TIC dans le cadre d’une collaboration avec les médias sénégalais.
Le Sénégal compte deux sites de l’UVA, l’un situé sur le campus de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et l’autre sur celui de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB).
UNESCO (2004), Passage à grande échelle des Centres Multimédia Communautaires au Sénégal, UNESCO, sl, 98 p.
L’équipement de base d’un CMC se compose de 4 à 5 ordinateurs connectés à Internet, d’une imprimante, d’un scanner, d’un appareil photo numérique et d’une radio d’une puissance de 100 à 250 watts. Le projet a également été mis en œuvre au Mali et au Mozambique.
Rares ont été les initiatives mises en œuvre dans le cadre de la coopération décentralisée.
Synergie genre et développement (SYNFEV) est une composante d’Enda qui a pour mission de promouvoir des actions de développement au bénéfice des femmes, par la promotion de l’égalité de genre, pour la paix et le développement.
Cf. http://www.famafrique.org/
Cf. http://www.sip.sn/
Cf. http://www.osiris.sn/
Amadou Top, Président d’OSIRIS, était le Vice-président du Fonds de solidarité numérique jusqu’en 2007.
Sur l’utilisation des TIC par les acteurs du jeu politique voir Souleymane Jules Diop (2002), « Impact des technologies de l’information et de la communication sur les processus électoraux : Exemple du Sénégal », In Médias et élections au Sénégal : La presse et les nouvelles technologies dans le processus électoral, sous la direction d’Olivier Sagna, Institut Panos Afrique de l’Ouest, NEAS, Dakar, pp. 103-169.
En dehors d’OSIRIS au Sénégal, le réseau ANAIS comportait les organisations suivantes : ORIDEV (Bénin), Yam Pukri (Burkina Faso), ANAIS-AC (Cameroun), ANAIS-CI (Côte d’Ivoire), ISOC-Guinée (Guinée) et ANAIS-Mali (Mali).
Organisée en février 2000, cette manifestation mobilisa largement la société civile africaine et fut un succès au regard de la richesse des débats qui s’y déroulèrent et des alliances qui s’y forgèrent en direction du SMSI.
ACSIS est l’acronyme anglais signifiant African Civil Society for Information Society.
Cf. André Santini (2005), « Mise en œuvre de villes numériques, les limites des politiques publiques » In La « Société de l’information ». Entre mythes et réalités, (sous la direction de Michel Mathien), Bruylant, Bruxelles, pp. 133-139.
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